MON ROMAN HISTORIQUE 6 : BERTRAND DU GUESCLIN EN ESPAGNE 1365 – 1369
Chers amis, Chers lecteurs,
Je vais bientôt être édité, par les Éditions Maïa, pour un livre qui me tient à cœur, Bertrand du Guesclin en Espagne 1365 – 1369, mais j’ai encore besoin de Vous, il me manque quelques précommandes. Une campagne de prévente et de promotion est lancée et vous la trouverez en cliquant sur ce lien ci-joint: https://www.simply-crowd.com/produit/bertrand-du-guesclin-en-espagne-1365-1369/.
Je vous invite à vous joindre à moi dans cette nouvelle aventure et à m’aider à faire de la parution de mon livre, un succès. Je compte sur Vous. Vous découvrirez un nouvel extrait, le numéro 6 du livre, à la suite. N’hésitez pas à transmettre ce lien un maximum, autour de vous ! Tous vos partages comptent alors un grand merci d’avance pour votre appui ! Je vous propose, donc, un nouvel extrait de mon livre :
Pour cette 6e promotion, je vous présente :
la bataille de Najéra, l’impossible victoire
D’abord, les armées du roi de Castille, Henri II, et de Bertrand du Guesclin. À la prochaine, je développerai celles du prince de Galles et de Pierre Ier, le cruel, ex-roi de Castille.
L’armée du roi Henri II et de Bertrand du Guesclin.
« … Maintenant, il ne faut plus penser à un retour quelconque vers la paix. Le matin du 3 avril 1367, l’armée castillane quitte son emplacement protégé sur les hauteurs de Najéra, traverse le Najerilla et vient se placer dans la plaine face aux Anglais. La hardiesse de Henri de Trastamare frappe le prince de Galles d’un grand étonnement dont il fait part à son entourage.
— Eh bien, mes seigneurs ! Par Saint-Georges ! Voilà un bâtard de chevalier bien vaillant, mais surtout bien trop présomptueux.
L’armée de Henri II de Castille compte quatre-vingt mille hommes, des piétons, des archers, des arbalétriers, des coutiliers, des cavaliers et des génetours1. Au centre, le roi, avec des masses de volontaires venus de Castille, de Léon et de l’Alava, est entouré de brillants nobles comme Alphonse de Haro, don Juan de Polomèque, Pérez de Guzman, oncle maternel du roi, don Pedro Ténorio, l’archevêque de Tolède2, Jordan de Usiez, commandeur de Saint-Jacques, Lopez Ayala, père de l’historien. En effet, son fils, don Pedro Lopez Ayala3, porte la bannière du roi. Devant lui se trouve une ligne d’arbalétriers génois, mêlés de cavaliers espagnols, volontaires de San-Estevan del Puerto4. À l’aile droite, Bertrand du Guesclin avec le maréchal Arnoult d’Audrehem, le Bègue de Villaines, les frères de Mauny, son frère Olivier, Guillaume Boitel et Guillaume de Launoy. Il commande quinze mille hommes, des Bretons, des Normands et des nobles castillans comme don de Manrique5, don Goncalvez de Castaneda, Ruiz Cisnéros, Lasso Ruiz de la Véga6 et bien d’autres, tous sous les ordres de don Sanche7, comte d’Albuquerque. Cette bataille est protégée par deux mille cavaliers aragonais du marquis de Villena, neveu du roi d’Aragon, don Moniz de Godoy, Grand-Maître de la Calatrava, et des commandeurs de Saint-Jacques don Fernand Osares et Ruiz de Sandoval.
À l’aile gauche, don Tello, troisième frère du roi, le plus présomptueux, avec six mille cavaliers andalous. Il y a aussi un corps de réserve qui est commandé par le comte aragonais de Roquebertin, bien armé et bien monté sur d’excellents coursiers pour secourir ceux qui seront en difficulté. Il couvre le point le plus rapproché de Navarette. Avant de lancer la bataille, Henri harangue son armée.
— Soldats, voyez dans ce pré, si vert, don Pèdre qui est, en tête d’une armée, contre vous ! Si vous êtes pris, il vous fera tous pendre. Il ira même tuer vos femmes et vos enfants.
Bertrand du Guesclin rejoint sa bataille et s’adresse à ses seigneurs et capitaines.
— Seigneurs, capitaines, écoutez-moi ! Tenons-nous tous bien serré et ensemble. Ne vous mêlez pas aux Espagnols, car je n’ai pas confiance en eux. Je crains qu’ils nous quittent au premier contact avec notre ennemi……. »
Si vous souhaitez lire l’intégralité de cet extrait et sa suite, vous pouvez précommander ce livre. Osez rêver ! Un grand merci à vous tous.
NB : Quelques précisions sur les modalités de commande sur Simply-Crowd :
– Pour recevoir l’équivalent d’une contrepartie, il vous suffit de cliquer sur la contrepartie souhaitée et vous serez directement renvoyé sur la page de paiement.
– Si vous souhaitez en commander plusieurs (par exemple, 5×24€ pour obtenir 5 livres papiers), vous pouvez inscrire le montant désiré directement sur la page de prévente, à gauche de la case « Soutenir le projet » et cliquer sur cette même case. Une fois sur la page de paiement, vous pouvez entrer le nombre d’exemplaires désirés dans la case « Informations complémentaires » située à la fin de la page. Si vous omettez de le faire, le nombre d’exemplaires équivalent à la somme payée vous sera tout de même envoyé. La page de prévente est mise à jour toutes les 24h et votre commande peut mettre ce même temps avant d’apparaître sur celle-ci. Cependant, votre commande est tout de suite confirmée par la réception d’un numéro de commande.
1Cavaliers andalous qui ne portent ni cuirasse, ni gambison et ni chemise de mailles. Ils sont parés de riches habits de couleurs éclatantes. Aucune protection aux jambes. Ils n’ont comme arme qu’un javelot, un petit arc ou une fronde.
2( 1328-1399) religieux castillan. Archevêque de Tolède de 1377-1399
3( 1332-1407) historien, poète, chroniqueur et homme d’État durant le règne de Castille.
4Commune située dans la province de Jaén de la communauté autonome d’Andalousie en Espagne.
5Avance majeure de Castille, officier au service de la Couronne castillane qui avait des compétences judiciaires et militaires dans le royaume de Castille.
6 (1340 – 2 avril 1367) Noble espagnol originaire de Cantabrie et l’un des piliers de l’histoire de la Maison contemporaine de Garci Lasso de la Véga. Il meurt à la bataille de Najéra.
7(1342-1374) Frère d’Henri de Trastamare. Il est connu en Espagne comme Don Sancho Alfonso de Castille, Infant de Castille et comte d’Albuquerque.